mercredi 28 janvier 2009
lundi 26 janvier 2009
1: 56 Je me lève tôt ; Fin de carrière
P, p, p. 3p ne dors pas.
Il était un moment
Je suis perdu dans un monde qui n’est plus moi, qui n’est plus autre.
Je t’aime toi.
1: 06 Tu m’approche encore.
J’ai oublié tout ce qui peut se passer quand l’astre du jour se blottit contre toi.
L’espace entre nous
Charcuterie Salaisons.
Ets RABAINN
53, Av. de la république
94800 Villejuif
Tél. 01 47 26 21 94
Nous sommes tous cochons et porcs, futurs saucisses. Quelques tranches de Porcinet pour les plus pervers.
Moment de solitude, moment de calme.
Hum Hum Hum, Hmm, mm, Humm, humm,mmm, H
Le petit train se ballade dans toutes les villes.
De Nantes à Nancy je retrouve la même odeur.
Le marché du matin
Les commerces fermés
La place de l’église qui grouille
Les cafés des petites
Les rues commerçantes désertes
Les trains silencieux
Le marché bruyant
« Passant prend le temps sinon il te prend »
-Café bien placé mais trop raide. 9 heures ça réveille mais le soleil me berce.
-*AVH – Le vent
- 11 h 00
- Ça sent la cigarette
C dommage je l’aimais bien ce stylo.
Je me rappelle les paysages de la Moselle en partance de Metz dans le train. Grandes plaines avec petit bois et soleil qui se couche. Le ciel bleu avec quelques nuages blancs qui tache le ciel.
Partir ? Peut être en fin d’année ? Il est peut être temps de faire le grand.
Le temps qui reste ?
On fini tous par finir, n’est ce pas ?
On se répète chaque jour sans comprendre vraiment nos échecs. Fin de carrière.
vendredi 23 janvier 2009
jeudi 22 janvier 2009
Laisse moi parler !
A l'image du son qui bégaye comme un homme ivre, et titubant. Cette installation, rustique, bidouillée, met en scène deux personnages qui "parlent comme il trébuchent", deux marionnettes qui subissent l'absurdité de la vie dans une ronde cyclique.
Leur conversation reste un mystère, pour eux comme pour nous, tout comme leurs existences qui ne tiennent qu'a un fil.
mercredi 21 janvier 2009
210- Sac plastique et elastique
Le sac plastique comme souvenir de notre échec permanent, et de cette prise de conscience qui se fait attendre.