dimanche 10 mai 2009

ça n'as pas vraiment marché

Cette performance met en scène un illuminé qui tel un enfant au coin doit rendre compte de ses actes, ainsi il se confesse pour se dernier "post-it", habillé comme un petit prince, mais de dos faisant penser également au bonnet d'âne . Je me confesse seul de dos dans une ambiance sombre, et silencieuse.
Des confessions qui se termine par un "ça n'as pas vraiment marché", montrant à la foi la faiblesse de l'individu et renforçant sa culpabilité.
Le paradoxe du roi qui se met en scène devant ce qu'il considère comme son "Dieu", cette institution qui est censée lui apporter la bonne parole, le pousser à voir autrement avec de nouveaux yeux ...






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